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J’y vais, ou je n’y vais pas. C’est le moment décisif, mais aussi celui de l’hésitation. Il y a ce qui me porte et ce qui me retient. Un écart entre moi et moi. Cela n’a peut-être l’air de rien vu de dehors, mais il faut bien du courage pour aller au-devant de soi. La poésie de Mélanie Leblanc salue ces événements, petits et grands, de la vie intérieure. L’auteure invite à trouver l’audace en désirant devenir, quand le trait fin de Magali Dulain fait naître une galerie de personnages sur le point de faire jaillir des couleurs nouvelles.  

les gens qui osent • mélanie leblanc • magali dulain

14.00€Prix

Mélanie Leblanc « aime à disséminer. En dehors des luminaires, des vitrines et des potirons ou, lors de l’exposition Relier au musée Mallarmé, sur le corps des visiteurs, elle écrit sur papier et publie. Disons qu’elle est une variété de liseron qui fait feu de tous supports. Dès qu’ils sont à sa portée, ses tiges volubiles s’y enroulent. Sa poésie est le liseron bleu, variété cultivée qui ne renie pas ses origines sauvages, le volubilis. Une forme certaine de liberté ne renonçant à explorer aucune direction.» (Dominique Panchèvre) Ses poèmes sont publiés chez Cheyne, Derrière la salle de bain, dans l’anthologie du Castor Astral ou la revue de la NRF. Avec les éditions les Venterniers, elle a notamment créé des étoiles filantes, éphéméride, Quand mon cœur. 

Magali Dulain, née à Nantes en 1985, vit et travaille à Lille. Elle étudie la gravure en 2004 à La Cambre de Bruxelles, puis l’illustration à l’École Supérieure des Arts de Saint-Luc Tournai jusqu’en 2008. Tout d’abord graphiste à Paris, elle s’installe définitivement dans le Nord et crée pour la littérature jeunesse dans plusieurs maisons d’éditions et dessine régulièrement pour la presse. Son travail d’aquarelle se transpose également auprès de différentes compagnies de marionnettes qui lui confient l’univers graphique de spectacles jeune public.
 

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